“ Changer une interaction, c’est déjà changer tout court ”
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En quelques mots !
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La thérapie brève stratégique et systémique est une approche thérapeutique radicalement différente des thérapies classiques, née dans les années 1950 à Palo Alto, en Californie.
Ses fondateurs – Gregory Bateson, Don D. Jackson, Paul Watzlawick, John Weakland ou encore Jay Haley – sont des chercheurs passionnés de cybernétique, de communication et d’interactions humaines. En travaillant notamment avec des familles de personnes schizophrènes, ils ont fait un constat :
Ce n’est pas la cause du problème qui compte, mais la manière dont il se maintient dans les interactions.
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La thérapie brève stratégique et systémique selon l’école de Palo Alto ne cherche pas pourquoi ça ne va pas, mais comment ça fonctionne, ce qui coince, et surtout ce qu’on peut faire de différent pour changer la dynamique.
Elle est dite :
- Brève : parce qu’elle vise un changement rapide et durable, en une dizaine de séances, plus ou moins étalée dans le temps...
- Stratégique : car chaque intervention est ciblée, adaptée, et pensée comme un mouvement dans un système relationnel.
- Systémique : car elle ne regarde jamais un individu isolément, mais toujours dans ses interactions (familiales, scolaires, professionnelles, intérieures…).
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À l’inverse de la psychanalyse qui cherche des causes profondes dans l’inconscient ou le passé, l’école de Palo Alto s’intéresse à ce qui se passe ici et maintenant : comment les gens communiquent, se bloquent, s’enferment malgré eux dans des cercles vicieux.
Leur travail s'appuie sur une discipline nouvelle à l’époque : la cybernétique, qui étudie les systèmes, les boucles de rétroaction (feedback) et les régulations d’un système vivant.
Ils ont ainsi posé une question révolutionnaire :
“Et si les tentatives de résolution étaient en fait le problème ?”
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Un travail en supervision : réfléchir à plusieurs, pour mieux vous accompagner
Dans cette approche, le ou la thérapeute se met au service du patient.
Il n’y a pas de gourou, pas de toute-puissance.
Ce qui compte, c’est de rester utile, respectueux et ajusté… même quand la situation est complexe.C’est pourquoi chaque thérapeute formé à cette méthode est invité à travailler en supervision : un temps de recul, partagé avec d’autres praticien·nes, pour réfléchir ensemble à certaines situations.
Ce n’est pas un aveu d’échec — c’est une preuve de sérieux.
Faire appel à la richesse d’un cerveau collectif permet d’ouvrir des pistes nouvelles, d’éviter les angles morts, et surtout de garder le patient au centre.En clair :
- Ce n’est pas l’ego du thérapeute qui compte,
- C’est votre réalité à vous qui guide le travail.
La supervision est là pour ça : assurer une qualité d’accompagnement, sans jamais perdre de vue que le plus important, c’est vous.
| Principe | Description |
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Focus symptomatique | On part d’un symptôme concret, qui devient un indicateur clair d’évolution. |
Recadrage (reframing) | On change le point de vue sur une situation, pour faire émerger de nouvelles pistes. |
Prescriptions de tâches | Des petites expériences à vivre entre les séances, pour tester des changements. |
Interventions paradoxales | Des propositions à contre-pied, pour casser les rigidités et ouvrir le système. |
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c’est déjà changer tout court "
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